OM Olympique de Marseille

OM saison 1982-1983

Deuxième Division 4eme, 41 points
38 Buts Pour 24 Buts Contre

Président : Monsieur Carrieu
Entraîneur :
Roland Gransart

Equipe-type Levy, Anigo, Caminiti, Lopez, Gilles, De Bono, N'Domba , Ravail, Pascal, Langers, Di Meco
Remplaçants: Auréjac, Blum, Bourrier, Bruno, Chancel, De Falco, Di Méco, Flos, Francini, Frigout, Garcia, Gili, Remy

Buteurs : Pascal (11), Ravail (7), N'Domba (6), De Bono, Di Méco et J.Lopez (3), De Falco (2), Anigo, Gilles et Langers (1).
Pascal, Garcia, Gilles, Gili, Levy, Anigo, Francini, Aurejac, Di Meco, Remy, Caminiti, De Falco, De Bono
Résumé de la saison Toutes les rencontres de l'OM saison 1982/1983 en détail
En cette saison 1982/1983, le jeune OM a un peu déçu, les joueurs expérimentés pour encadrer les minots n'ont pas eu le rendement souhaité, et le passage du Vélodrome en réfection pour l'Euro 84 vers l'Huveaune n'a pas eu l'effet escompté.


Dans des conditions de confort précaires et décourageantes pour les spectateurs, les jeunes olympiens finissent à la 4e place.


Le recrutement de joueurs expérimentés ne prend pas bien et les minots ne peuvent assurer tous seuls.


Rémy, Ravail, Gilles, N'Domba et Langers apportent leur pièce à l'édifice, mais deux défaites à Dunkerque et à Nice en début de saison sapent le moral.

1

RED STAR - OM

0 - 1

18

OM - DUNKERQUE

4 - 0

2

DUNKERQUE - OM

1 - 0

19

BLENOD - OM

0 - 2

3

OM - BLENOD

1 - 1

20

OM - NICE

2 - 0

4

NICE - OM

2 - 0

21

ORLEANS - OM

2 - 0

5

OM - ORLEANS

3 - 1

22

OM - CUISEAUX

1 - 0

6

CUISEAUX - OM

2 - 3

23

GUEUGNON - OM

0 -1

7

OM - GUEUGNON

1 - 0

24

OM - MARTIGUES

0 -1

8

MARTIGUES - OM

0 - 1

25

REIMS - OM

2 - 0

9

OM - REIMS

1 - 1

26

OM - BESANCON

0 - 0

10

BESANCON - OM

0 - 1

27

GRENOBLE - OM

1 - 0

11

OM - GRENOBLE

2 - 0

28

OM - TOULON

0 - 0

12

TOULON - OM

1 - 0

29

ST. FRANCAIS - OM

1 - 2

13

OM - ST. FRANCAIS

3 - 1

30

OM - CANNES

0 - 0

14

CANNES - OM

1 - 0

31

MONTCEAU - OM

0 - 1

15

OM - MONTCEAU

3 - 0

32

OM - THONON

0 - 0

16

THONON - OM

2 - 2

33

FONTAINEBLEAU - OM

1 - 1

17

OM - FONTAINEBLEAU

1 - 1

34

OM - RED STAR

1 - 2

Avec 4000 à 5000 spectateurs à l'Huveaune, et 10000 pour la réception du Toulon de Rolland Courbis, on assiste à de bons matches tout de même.
Neuf défaites quand même au bout, et une attaque peu prolifique.
Et ce sont les voisins Toulonnais de Courbis qui montent en Première Division, après une lutte au couteau avec Reims.
Mais les hommes qui avaient pris le club en charge continuent patiemment de rebâtir sur les ruines..
En Coupe, c'est Tours qui élimine l'OM mais la montée n'est pas pour bien longtemps
Pour le retour au Vélodrome, lors de la dernière journée, 1888 spectateurs assistent à la défaite contre le Red Star 2 à 1.
A Nantes, Jean Vincent parti entraîner la sélection du Cameroun, est remplacé par Jean-Claude Suaudeau.
La transition s'opère en douceur puisque ce dernier, jusque-là en charge de la formation, a sévi en tandem avec l'ex-international à la fin de la saison précédente.
Deux autres départs laissent présager une année délicate : Henri Michel stoppe sa carrière après seize ans chez les Canaris pour seconder Michel Hidalgo à la tête de la sélection nationale, tandis que Gilles Rampillon choisit d'évoluer à Cannes.
L'ombre de José Arribas apôtre d'un football libre et inventif, enveloppe le stade Marcel- Saupin. Personne ne peut résister à Nantes. Le trou est rapidement fait, et en tête à partir du 21 septembre (septième journée), L’équipe termine le championnat avec dix points d'avance sur Bordeaux battu 4 à 0 et onze sur le PSG, avec une différence de buts impressionnante (+48).
En effet avec une défense composée de Michel Bibard, Patrice Rio, Maxime Bossis, William Ayache et Thierry Tusseau, Jean-Paul Bertrand-Demanes n'a encaissé que 29 buts en trente-huit journées.
Devant, alimenté par les ballons de Bruno Baronchelli, Oscar Muller, José Touré, Fabrice Picot et Seth Adonkor (le jeune Franco-Ghanéen à la destinée prometteuse, demi-frère de Marcel Desailly, se tuera quelques mois plus tard, le 18 novembre 1984, dans un accident de voiture), la paire composée de Loïc-Amisse et Vahid Halilhodzic se régale.
Le Yougoslave surtout, acquis la saison précédente pour 3 millions de francs afin de remplacer Eric Pécout.
Il termine meilleur réalisateur du championnat, avec 27 buts. Bref en cette saison 1982-1983, tout sourit à Nantes.
Qui manque d'un cheveu le doublé, s'inclinant en finale de la Coupe de France au Parc des Princes devant le PSG (3-2), malgré un but d'anthologie de José Touré, dont la reprise de volée après un enchaînement de jonglages passe sous le ventre de Dominique Baratelli.
Coupe de France
6 tour : OM-Luynes 4-0
7 tour : OM-Chasselay 1-0
32 de finale : OM-Limoges 2-1
16 de finale : Tours-OM 3-0 puis (match retour) 1-2
Buteurs : Pascal (3), Di Méco (2), Caminiti, Langers, Ravail et Rémy (1)
EQUIPE TYPE
1982/83
4 3 3