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Arrière français, né en 1924.
Pour définir ce défenseur chauve qui avait la puissance, la résistance,
la vitesse et l'habilité, le public et la presse ont trouvé ce qui convenait
le mieux comme surnom : le Sanglier des Ardennes.
Il fut recordman des sélections pendant longtemps et joua un match de la
coupe du monde 1958 contre la Yougoslavie. |
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Grand capitaine de l'équipe de France pendant de nombreuses années, Roger
Marche n'était plus titulaire en Suède mais était toujours aussi disponible
pour cette équipe qu'il aimait tant. |
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Il a joué à Reims, où il a remporté le titre de champion de France en 1949
et en 1953, et la Coupe en 1950.
Au Racing Club de Paris, il n'eut pas de titre, mais gagna la totale estime
du public.
Il connut pour son dernier match en éuipe de France, où il comptait 63
sélections (un record battu par Marius Tresor), une joie inespérée : à
la 61e minute du match Farnce-Espagne, il marqua sur un centre-tir son
sul but international à Ramallets, le meilleur gardien d'Europe à ce moment-là.
C'était le 17 décembre 1959 : un an plus tôt, le 3 décembre 1958, il avait
aussi marqué, devant les Grecs, mais dans le but de son propre gardien,
Abbes, obligeant les Tricolores à condéder un nul 1-1. Roger Marche a entraîné
qualques temps l'équipe de Mohon, sa ville natale. |
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Toujours disponible pour les jeunes |
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