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Première Division 17eme, 31 points
51 Buts Pour 67 Buts Contre
Président : Monsieur Carrieu
Entraîneur : Roland Gransart puis (septembre 1984) Pierre Cahuzac
Equipe-type Levy, Anigo, Flak, Lopez, Bade, De Bono, Zanon, Cunningham, La Ling, Rubio,
Zenier
Remplaçants: Bruno, Dewilder, Diallo (Sen), Di Méco, Flak, Francini, Gili, Kerjean,
Pascal, Roch,
Buteurs : Zénier (11), Cunningham (8), Zanon (7), Ling (6), Flak (5), De
Bono, Dewilder, Pascal (3), Bracci, Diallo, Di Méco et Rubio (1)
et un but csc du Bordelais Battiston. |
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Zanon, Bracci, Lopez, Kerjean Levy, Diallo, Rubio, Cunningham, Francini,
Z enier, Bade |
Résumé de la saison |
Toutes les rencontres de l'OM saison 1984/1985 en détail |
Ainsi l'OM retrouve après quatre ans la première division.
On fait confiance encore aux minots Lévy, Anigo, Lopez, Francini, De Bono,
Pascal et un certain Di Méco, mais avec un peu de réserve.
Laurie Cunningham est la seule star recrutée, avec Dewilder, Flak, Bade,
Zanon et Zénier.
Viendra plus tard le dribbleur La Ling, un peu lourdeau quand même, n'est
pas Magnusson et Waddle qui veut.
ça démarre pas mal avec deux succès à domicile face à Sochaux et Rouen.
Mais ça se gate ensuite, avec des défaites à domicile contre le Racing
et Nancy.
Roland Gransart est remercié alors qu'il n'est pas responsable du recrutement.
Le plus jeune entraîneur de Division I, le technicien qui avait conduit
les "Minots" de Marseille aux conquêtes que nous savons, a été
expédié de loin.
On l'avait vu venir. Et seul, l’intéressé, qui en était à sa première expérience
en la matière, il est vrai, ne s'en est pas inquiété, oubliant de la sorte
de lever sa garde. |
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Nous voici donc revenus au temps de la valse marseillaise, qui a fait tourner
jadis tant de têtes et qui, à un moment donné, entraîna toute une pléiade
de techniciens loin de la piste de danse, entendez sur la touche.
La faute à qui ? Certainement pas au brave garçon qui avait rangé ses souliers
à crampons dans l'armoire aux souvenirs, à 28 ans, pour se consacrer à
l'éducation et à la formation des jeunes talents olympiens.
Seulement voilà, Roland Gransart, né dans le sérail olympien, puisque aussi
bien son père, Maurice, fut un intraitable défenseur du club dans les années
50, faisait en quelque sorte parties des meubles. |
Donc à la longue, il pouvait déranger. Et dans l'histoire, son inexpérience
ne pouvait que le desservir : outre qu'il était facile, à ceux qui se trouvaient
au-dessus de lui, d'intervenir dans le domaine technique proprement dit,
il était tout aussi prévisible que le jour où les résultats seraient mauvais,
c'est à l'entraîneur que l'on ferait porter le chapeau.
A situation compromise, remaniements inévitables. Et, comme toujours en
pareil cas, le coup de lessive a nettoyé l'entraîneur, ce galeux, ce tondu
qui n'a pas su tirer partie des moyens qui avaient été mis à sa disposition. |
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C'est Pierre Cahuzac qui le remplace.
L'entraineur de l'épopée Bastiaise en Coupe d'Europe ne fera guère mieux.
L'OM va flirter avec la relégation, mais une belle victoire sur le PSG
3 à 1 relance l'équipe..de l'équipe
L'OM va finir à la 17eme place à 2 points du premier relégable.
En Coupe, c'est Valence, dernier de Division 2 qui élimine les Olympiens. |
Le championnat 1985 lui, est à sens unique.
Autant le sacre Bordelais, la saison précédente, a été long à se dessiner,
autant celui-ci est net et sans bavure, comme programmé et inéluctable,
ce qui explique l'accueil faiblard et tiède à l'aéroport de Mérignac le
soir du titre, contrastant, en terme de ferveur, avec celui qu'avait généré
l'exploit de 1984.
A l'arrivée, les Girondins à peine menacés par les Nantais, qui échouent
à trois points ne se sont inclinés qu'à quatre reprises. Intraitables à
domicile ils concèdent un nul pour dix-sept victoires. |
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Monaco est le seul à ramener un point de Lescure et peut même se targuer
d'avoir infligé, au stade Louis-II un sévère 3-0 à la bande d'Alain Giresse,
le "dépositaire du jeu", selon l'expression d'Aimé Jacquet, qui
a signé dans ce club sa première licence en 1964.
Bordeaux récolte au terme du championnat la meilleure attaque (70 buts
dont 22 pour le seul Bernard Lacombe) et la meilleure défense (seulement
27 buts encaissés, grâce notamment aux performances du gardien Dominique
Dropsy, qui avait quitté Strasbourg, à l'inter-saison.
C'est Monaco qui remporte la Coupe contre le PSG |
Coupe de France
32ème de finale : OM-Senlis 1-1 (l'OM gagne aux tirs aux buts)
16ème de finale : Valence-OM 1-0 puis (match retour) 1-2
Buteurs :LaLing (2) et Pascal (1) |
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EQUIPE TYPE
1984/85
4 3 3 |
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