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Première Division 11eme, 49 points
43 Buts Pour 48 Buts Contre
Président : Monsieur Louis-Dreyfus
Entraîneur : Gérard Gili
Equipe-type
Kopke, Jambay, Issa, Malusci, Marquet, Durand, Roy, Letchkov, Pedros, Libbra,
Gravelaine
Remplaçants: Agali (Nig), Alonzo, Echouafni, Asuar, Cascarino (Irl), Ferrer, Franceschini
(Ita), Galtier, Makin (Ang), Malusci (Ita), J.C.Marquet,Spinosi , Vignola.Ben
Slimane (Tun),
Buteurs : Gravelaine (15), Libbra (9), E.Roy (5), J.P.Durand (4), Echouafni et Jambay
(3), Letchkov (2), Asuar (1) et un but csc du Niçois Gioria. |
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Jambay, Libbra, Letchkov, Roy S, Becker (Brésilien à l'essai), Marquet,
Pedros, Gravelaine, Durand, Galtier, Kopke |
Résumé de la Saison |
Toutes les rencontres de l'OM saison 1996/1997 en détail |
L'OM retrouve la Première Division et va réaliser une saison très moyenne.
Pedros et Letchkov déçoivent, les Italiens Malusci et Franceschini sont
de passages, heureusement Xavier Gravelaine et le gardien Allemand Kopke
tiennent l'équipe à bout de bras.
L'OM se maintient en milieu de tableau et l'arrivée de Robert Louis Dreyfus
laisse augurer des lendemains qui chantent.
Le Vélodrome est en chantier pour la Coupe du Monde.
Ce qui n'empêche pas l'OM de s'emparer de la tête du classement lors de
la première journée en match avancé en dominant Lyon (3-1).
Mais ensuite, la défaite contre Metz lors de la 3e journée ne va pas arranger
les choses. |
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Contre Nantes, c'est même l'émeute au vélodrome.
Il et 19 heures quand le car des joueurs marseillais arrive au Vélodrome
pour le match de la 14e journée de Championnat OM-Nantes.
Déjà, l'ambiance est pourrie :
une alerte à la bombe dans les locaux de France 3 oblige les joueurs à
accomplir les trois cents derniers mètres à pied, jusqu'au parking derrière
le vestiaire où s'échauffe un comité d'accueil haineux. |
" Ce n'était pas des insultes mais des menaces, précise Gérard Gili,
et il y a eu la trouille, la peur physique, celle qui paralyse. On voit
ça en Grèce en Coupe d'Europe.
Là, ils l'ont fait contre leur propre équipe."
Cibles des attaques, Gravelaine, Pedros et Letchkov, les "stars"
pénètrent blêmes sur la pelouse.
Robert Louis-Dreyfus, le futur président, déambule et précise qu'il passera
voir les joueurs et les cadres dans la semaine.
Gérard Gili est abattu, bref, le retour en D1 n'est pas encore une partie
de plaisir. |
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On note quelques révélations comme les jeunes Libbra et Echouafni mais
des renforts sont fortement attendus pour la saison suivante.
Une onzième place bien moyenne pour finir, avec une défaite humiliante
à Lyon 8 à 0 qui couronne le tout.
RLD annonce du changement, Gérard Gili laissant sa place à Rolland Courbis. |
Vexé de son échec de la saison dernière, le Paris Saint-Germain étoffe
encore son effectif, enregistrant les renforts du Brésilien Leonardo et
de Benoît Cauet.
A la tête de l'équipe, Ricardo, 31 ans, ex-libero de la Seleçao. |
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Mais, après cinq journées, Paris ravit la plus haute marche. Seul contretemps
: Bernard Lama, invaincu, se blesse en repoussant un penalty à Cannes.
Il est opéré du genou et manque à ses partenaires deux mois, l'intermède
étant assuré par Vincent Fernandez. |
Paris garde le cap mais cafouille, comme par atavisme.
A preuve, la déroute subie en Gironde (5-3) Du coup, à la trêve, Alain
Roche et les siens ne comptent qu'un point d'avance sur Monaco. L'équipe
de la principauté revient vite, puis passe devant. Avant de creuser l'écart
en dominant justement Paris à Louis-II,grâce à Sylvain Legwinski et Sonny
Anderson. |
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Paris, humilié à la maison en Supercoupe par la Juventus de Turin (1-6),
est traumatisé. Monaco s'échappe.
L'ensemble princier a fière allure, avec Fabien Barthez dans les filets
, le capitaine et libero Franck Dumas, les milieux Emmanuel Petit et Ali
Benarbia ainsi que les attaquants Anderson et Thierry Henry en guise de
colonne vertébrale.
Avec un tel groupe, l'ASM jouit de neuf points d'avance à trois journées
du terme. |
La formation entraînée par Jean Tigana s'avère sacrée, l'année même du
sept centième anniversaire de la dynastie des Grimaldi, sans jouer : Paris
ne peut mieux faire qu'un nul au Parc face à Bordeaux (2-2) Vingt-quatre
heures plus tard, paradoxalement fatigué par l'euphorie, Monaco étrenne
son tire, contre Caen, par un partage des buts (2-2).
La cote d'azur est en fête car Nice, relégué pourtant en D2, gagne la Coupe
de France devant Guingamp aux tirs au but. |
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Coupe de France
32ème de finale : OM-Lille 0-1 |
Coupe de la Ligue
16ème de finale : OM-Auxerre 3-2
8ème de finale : Bordeaux-OM 1-0
Buteurs : Jambay, Libbra et Pedros (1) |
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EQUIPE TYPE
1996/97
4 3 3 |
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Autres Joueurs |
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