OM Olympique de Marseille

OM - Rennes 1 - 1


Hommage à Jacques Chirac
OM - Rennes 1 - 1 (0 - 1)
Vélodrome 44 281 spectateurs
Arbitre Frank Schneider
Buts Niang 19e, Caleta-Car 52e
OM Mandanda -Sakai, Perrin, Caleta-Car, Amavi puis Radonjic 46e - Strootman, Sanson puis Khaoui 78e, Rongier - B.Sarr, Benedetto, Germain puis Aké 83e
Rennes .Mendy - H.Traoré, Da Silva, Gelin, Morel,Maouassa - J.Martin, Camavinga,, Bourigeaud puis Grenier 73e - Raphinha puis Tait 73e, Niang puis Hunou 78e
L’OM ne gagne plus mais n’a plus perdu depuis la première journée et reste la seule de L1 avec une seule défaite au compteur.

Sa série en cours de trois nuls l’a fait redescendre à la 5e place, mais les nombreuses absences, Alvaro et Florian Thauvin blessés, Dimitri Payet et Boubacar Kamara suspendus, permettent d'espérer des jours meilleurs.

La première période fut très inquiétante, avec la première titularisation de Valentin Rongier,en demi-teinte.

Mais il s’est bien repris, comme son équipe, après le repos.

Rennes a logiquement ouvert le score grâce à un débordement de Da Silva, dont le centre en retrait a été coupé par Niang, même si c'esr Sakai qui a dévié le ballon.

Les Marseillais ont souffert comme jamais, sifflés à leur retour au vestiaires par un Vélodrome mécontent
Amavi, pas très saignant, est sorti à la pause remplacé par Radonjic, Sakai jouant à gauche et Sarr passant couloir droit.

Et Caleta-Car a égalisé d’une tête décroisée sur un corner de Sarr, corner gagné par Radonjic.

Benedetto a été trop court sur un centre de Sarr (70'), mais l’OM était enfin revenu dans la partie
La rencontre s'est rééquilibrée.



En fin de match, chaque équipe a eu une balle de match, l’OM par Sarr, contré par Mendy, avant que Benedetto ne frappe au-dessus (87').
Rennes aussi aurait pu gagner deux minutes plus tôt sans un double sauvetage magnifique de Steve Mandanda devant Hunou (85').

Merci Steve!!!
André Villas-Boas:

«Nous avons bien changé d'attitude individuellement et on a été biens en deuxième période.
Je voulais profiter des qualités de Bouna Sarr pour faire du deux contre un sur le côté.
Il a volé pendant la deuxième période, il était partout, c'était incroyable
La première mi-temps a été terrible.
les latéraux ont manqué plusieurs fois de profondeur en première période.
On n'a rien créé.
C'est ma responsabilité.
Peut-être qu'avec mon style de coaching, on passe trop d'informations et on arrive en première mi-temps un peu inquiets.

Je n'ai pas apprécié les sifflets pour Amavi. Je ne comprends pas. Quand tu siffles un de tes joueurs, tu tues ta propre équipe.
Parce qu'après, ça va passer à un autre joueur et ainsi de suite. C'est intolérable. Tu peux siffler un collectif, pas une individualité.
»