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SPORTING LISBONNE 0-2 OM (mi-tps: 0-2)
Stade : Jos Alvalade, Lisbonne -
Arbitre : Alejandro Hernandez
Buts : - M. Guendouzi (20e, pen.) A. Sánchez (30e)
SPORTING LISBONNE : F. Israel - Gonçalo Inácio, S. Coates (José Martínez, 35e), Matheus Reis - Ricardo Esgaio, M. Ugarte, H. Morita (I. Fatawu, 22e), Nuno Santos (Pedro Porro, 59e) - M. Edwards (S. Alexandropoulos, 35e) - Francisco Trincão (Flávio Nazinho, 46e), Pedro Goncalves
OM : Pau López - C. Mbemba, E. Bailly (S. Gigot, 64e), L. Balerdi - J. Clauss (I. Kaboré, 64e), Nuno Tavares - V. Rongier, J. Veretout (P. Gueye, 87e) - M. Guendouzi (C. Ünder, 64e), A. Harit (D. Payet, 72e) - A. Sánchez |
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Après ses défaites face à Tottenham (0-2) et Francfort (0-1), l’OM a battu deux fois en l’espace d’une semaine le Sporting.
Deux victoires, une au Vélodrome mardi dernier (4-1), et l'autre ce mercredi
au stade José Alvalade (0-2), qui permettent aux Phocéens de grimper à
la deuxième place du groupe.
La qualification est aujourd'hui possible
Les Portugais ont même fini à 9, mais ce n'est pas de notre faute...
Les Marseillais ont su provoquer ces faits de jeu qui ont fait basculer
la rencontre.
D'abord une faute de Ricardo Esgaio dans la surface sur Amine Harit, avec
à la clé un penalty et une expulsion, puisque le défenseur portugais a
reçu un deuxième carton jaune
Mattéo Guendouzi a converti le penalty en s'aidant un peu du poteau (0-1,
20’).
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Avec un gros pressing efficace et la possession du ballon, les Olympiens
ont bien maîtrisé leurs adversaires.
ils ont fait le break grace à un super Harit qui a idéalement servi au
second poteau Alexis Sanchez, qui a marqué à bout portant (0-2, 30’).
D'abord refusé, le but a été accordé et la main de Vata a été définitivement
vengée par la VAR
Harit ne trouvera pas l’ouverture sur deux occasions (55’, 69’), mais il
aura été particulièrement brillant .
Valentin Rongier, dont la frappe a échoué dans le petit filet (66’) aurait
pu corser la note.
Pas de troisième but imalgré le carton rouge infligé à Pedro Gonçalves,
pour une faute sur Leonardo Balerdi et une contestation (60’).
José Marsa en dégageant va heurter le poteau (84’), mais enfin on se contente
de ce 2 à 0..
L’OM devient le premier club français de l’histoire à s’imposer au Portugal
en Ligue des champions et met fin à une série de dix-neuf matches sans
victoire.
Les hommes de Tudor affronteront Francfort, battu à Tottenham (3-2).
Tout reste à faire, mais au moins, on s'en est donné les moyens |
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Igor Tudor
Votre analyse de la rencontre
"C'est une performance fantastique. On a fait un très bon match, du début à la fin, on a mérité les trois points. Avec ces six unités au compteur, on peut commencer à rêver d'une accession au tour suivant, à deux journées de la fin de la phase de poules. Mais le classement est serré, les quatre équipes peuvent encore se qualifier pour les huitièmes de finale.
Avec ce scénario idéal, face à un Sporting réduit à dix, puis à neuf, vous avez pu également préparer le Classique, dimanche, et reposer certains joueurs...
Oui, à 2-0, et avec deux joueurs de plus, j'avais de la latitude. Le rythme dans les trente dernières minutes n'était pas trop élevé, et les remplaçants n'ont pas eu à puiser dans leurs réserves. On a quatre jours d'ici le prochain match, largement le temps de récupérer et de réaliser une nouvelle belle rencontre, dimanche.
La confiance est élevée, l'équipe me semble dans un bon moment, et dans un très bon état physique. Hier (mardi), à la veille de la rencontre, trois ou quatre joueurs sont venus me voir pour me dire : ''Ne vous inquiétez pas, coach, demain, on sera au rendez-vous, on va gagner.'' C'était un bon moment, de belles sensations. Aujourd'hui, tout est ouvert, nous avons ces deux rencontres, on y va match après match, et on va voir ce que ça donne. Mais c'est bien de se trouver dans cette position, et on est tous heureux d'y être."
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Qu'avez-vous pensé de la prestation d'Amine Harit ?
"Il a été impressionnant aujourd'hui. C'est un mec fantastique, avec lui dans l'équipe, on sent qu'il s'y plaît, que ce jeu lui correspond, c'est ce qu'il aime. Il a une super conduite de balle, il peut orienter le jeu à sa guise, évoluer entre les lignes, il a les capacités techniques pour combiner avec les autres. Il a vraiment fait la différence ce soir."
Un mot sur Chancel Mbemba, encore impeccable ce soir ?
"C'est un leader silencieux, il est vraiment très important dans le vestiaire.
Dans notre système, il s'avère fondamental. Il est très bon depuis la première
journée de Championnat, il a déjà marqué deux buts dans les différentes
compétitions. Il nous donne de l'expérience, il sait conduire le ballon
et faire avancer le bloc. » |
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Benfica - OM 1 - 0 le 18 Avril 1990 à Lisbonne
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