Le onze marseillais est en 4-2-3-1, avec Benjamin Mendy sur le flanc gauche
de la défense.
Romao et Imbula sont à nouveau associés à la récupération. Payet, Valbuena
et André Ayew sont à la création derrière Gignac.
La Sampdoria évolue en 3-5-2 sous la houlette de Delio Rossi. A noter les
présences de De Silvestri en milieu défensif droit, d'Obiang dans l'entrejeu
ainsi que celle du Brésilien Eder en attaque. |
Sampdoria - OM 4 - 3 (3 - 1)
Gênes, Stade Luigi-Ferraris - Spectateurs : 15000
Arbitre : Mauro Bergonzi
Buts Gabbiadini 21', 25', Eder 23', Renan 85'
Gignac 7', Valbuena 51', Fanni 54'
OM Mandanda (cap) - Fanni, Nkoulou, Mendes, Mendy - Romao, Imbula - Payet,
Valbuena, A. Ayew - Gignac.
Remplaçants: Samba (g) - Abergel, Abdallah, Diawara, Morel - Abdullah,
Cheyrou,Amalfitano - Kadir, Sougou, J. Ayew.
Sampdoria Da Costa- Mustafi , Palombo, Castellini- De Silvestri, Eramo,
Krsticic, Obiang, Regini- Eder et Gabbiadini. |
Alors qu’on les pensait lancés après l’ouverture du score de Gignac (7e),
les joueurs d’Elie Baup ont trouvé le moyen d’encaisser trois buts en l’espace
de quatre minutes (21e, 23e, 25e).
Sur le premier, Gabbiadini a pris le meilleur sur Nkoulou de la tête.
Sur le deuxième, toute la défense olympienne a été mystifiée par un une-deux
entre l’attaquant prêté par la Juve et Eder.
Sur le troisième, Gabbiadini, encore lui, a pris Mendes de vitesse avant
de tromper Mandanda d’un plat du pied. |
Avec une belle réaction d’orgueil qui leur a permis de revenir à 3-3 en
début de seconde période, les Olympiens se remirent dans le match. Servi
par Payet, Valbuena a réduit le score d’une jolie balle piquée (51e). A
la réception d’un centre de Mendy, Fanni a égalisé de la tête (54e). Mais
faute d’avoir su passer devant par Payet (65e) ou Gignac (68e), l’OM s’est
finalement fait piéger en fin de match sur un quatrième but inscrit par
Renan (84e).
Quatre défaites pour une seule victoire.
Un bilan proche de celui de l’an dernier.
«Et qui ne l’avait pas empêché d’aligner six victoires lors des six premières
journées», pourrait rappeler Labrune. |
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