Paris FC OM 0 - 1 |
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Interview Jo Bonnel en 2005 à OM4ever En 73, j’arrivais en fin de contrat et Zatelli m’a demandé d’entraîner. Cela c’est mal passé. Je n’aurais pas du accepter car j’avais été joueur avec eux et là du jour au lendemain je les entraîne. Pour un match à Hannovre, je fais jouer Bosquier libéro et Trèsor stoppeur. Les deux voulaient être libéro…A partir de là il y a eu des conflits et les résultats ont été moyens et j’ai été sorti. Ce n’était pas plus mal car juste après j’allais dans un petit club, à Béziers chez moi, c’était sensationnel. A l’AS Béziers en D2, cela a été un peu laborieux mais on a passé deux bonnes années avant que le club ne puisse plus payer les joueurs. La ville de Béziers n’avait pas d’argent et ne faisait rien pour en avoir à donner au foot. C’est un homme d’affaires litigieuses, avec un pognon monstre, qui tenait la baraque jusqu’à ce qu’il arrive à saturation. On allait se faire payer chez lui… Il y a aussi eu cette fameuse victoire de coupe face à l’OM…Quelques semaine après être parti de l’OM pour Béziers, le tirage au sort des 32e nous oppose à eux en février 74. C’était la fête et en plus on les bat à Sète ! A la fin Magnusson est venu me voir en disant : « Jo je suis content pour toi d’avoir perdu». Je savais qu’il y avait un peu la panique au sein de l’OM et j’étais content de la foutre un peu plus. Surtout pour les dirigeants qui m’avaient viré. |